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  • Une semaine à Dumila [1] : Un village ordinaire mais inattendu

    Dumila, Province de Morogoro, Tanzanie

     

              Dans le bus allant à Morogoro, un commercial ventait les bienfaits du dentifrice sensitive, à base d'aloe vera. Les passagers semblaient totalement indifférents à son discours, mais ils furent pourtant une dizaine à lui en acheter. Mon voisin m'expliqua que c'est parce qu’il parlait bien, donc on voyait que c'était un homme diplômé. Après le dentifrice, place aux balles rebondissantes (qui lui ont permit de rebondir...), sur fond de visionnage de la version swahilie de Banlieue 13.

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  • Jambo Tanzania - Dar Es Salaam

    De ce que j'en ai vu...

     

              En raison de son climat, la principale vile Tanzanienne est suffocante. Pourtant, elle n'est ni trop sale ni trop congestionnée. Sans être bien agencé ou bien entretenue pour autant, on n'y côtoie pas la misère en permanence.
    Les gens en costume des banques et bureaux cohabitent avec "ceux qui se débrouillent". On y croise autant femmes en mini jupes ou qu'en robes traditionnelles de couleur vives, d'hommes en maillot de foot et tongs qu'en chemises et pantalon de marques. Beaucoup de jeunes, énormément de jeunes. En fait, les moins de 14 ans représentent la moitié de la population, pour une moyenne de presque six enfants par femme !

    Ville bâtie par des musulmans d'où elle tire son nom arabe d'"Havre de Paix", ce sont aujourd'hui des chrétiens qui la peuplent en majorité. Une importante communauté musulmane et hindouiste y habite également. On peut parfois entendre la prière résonner dans la ville et il n'est pas rare de tomber sur un temple hindou.

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  • 13/04 - 15/04 - Derniers jours à Séoul

    SEOUL, COREE DU SUD
    13/04

     

    Le Palais Gyeongbokgung, fermé mardi dernier, nous a ouvert ses portes. Le domaine est énorme mais l'entrée ne donne pas accès à tout le site.


    Seoul palace   Seoul palace

    seoul palace   seoul palace
    L'un des cinq grands palais construits sous la dynastie Joseon. Le nom du palais, Gyeongbokgung, signifie « palais du Bonheur resplendissant ». 


    seoul palace   seoul palace

    seoul palace   seoul palace

    Des étudiants qui n'avaient même pas l'air de comprendre leurs questions nous ont demandé si nous étions familier avec la nourriture coréenne.


    seoul palace

    seoul palace   seoul palace

    Petit concert de musique classique en quittant le Palais, direction une rue marchande pas loin.


    Seoul market   Seoul market
    De boutiques de souvenir et de snacks partout

    Les sud-coréens sont des spécialistes des petites boîtes gravées. On trouve beaucoup de fresques et de tableaux japonais, ainsi qu'une quantité affolante de restaurants japonais. Quelques contrefaçons de grandes marques s'installent autour de boutiques de souvenirs et de snacks.


    Hanok village   Hanok village
    Lançage de cerceaux à Hanok Village 


    Seoul walk   Seoul walk
    Nous avons quitté cet espace en traversant la colline de la Seoul Tower. La promenade était sublimée par les arbres en fleurs.


    Seoul market
    Marché

    Nous avons fait un dernier marché que nous avions repéré près de la Seoul Tower. Mes deux paires de pompes étant mortes coup sur coup, j'ai acheté à mes dépends une paire de New Balance à un prix raisonnable. C'était la seule à ma taille. Khalid lui s'est offert un sweet Suprême 

    Comme à notre habitude, nous avons fini par acheter une bière au 7eleven du coin de la rue. Ce soir là, c'était "Au revoir Sam !" : un anglais prof d'anglais en Chine, qui après quelques jours passés à Seoul s'y voyait bien y vivre.


    14/04


    Le dernier jour, je devais m'attaquer au Parc national de Bukhansan, accessible en métro, mais la pluie (ainsi qu'un réveil difficile) m'ont calmé dans ce périple. C'est pu ske ct.

    Un mal pour un bien. A la place, j'ai convaincu Khalid de m'accompagner au "Retro Bar Gaming" dans le quartier de Hongik pour assister à la finale de la LCK (League of Legends Championship Korea). En gros, une partie du jeu vidéo le plus joué au monde, dans LE pays qui domine ce sport électronique. C'est le sanctuaire ultime de League of Legends.


    Lotte mall seoul

    Lotte Mall Seoul   Lotte Mall Seoul

    Avant la compétition, retour au Lotte Mall devant lequel se déroulait une sorte de meeting politique. Les gens levaient le poing en rythme et avec ferveur.

    Il faut savoir que certains joueurs professionnels en Corée du Sud sont vénérés comme des stars du foot en Occident. Leurs joueurs s'exportent partout dans le monde, du Brésil à la Russie, et les meilleurs d'entre eux gagnent quelques millions de dollars par an avec les primes de championnats. Pour cause : les joueurs s'entraînent près de douze heures par jour et les diffusions qui attirent de nombreux sponsors sont visionnées simultanément par des centaines de milliers de joueurs dans le monde. Riot Games, les créateurs du jeu, ne plaisantent pas avec leur evenementiel. Depuis quelques années, les finales ont parfois lieu dans des stades nationaux. De quoi se donner une petite idée pour ceux qui ne réalisent pas la place que commence à prendre le sport électronique. Les puristes savent à quel point il est (comme beaucoup) aussi additif que nocif.


    LCK final seoul   LCK final seoul
    Finale de la LCK au Retro Bar Gaming

    Malheureusement, cette finale avait lieu à Busan, au sud de la Corée du Sud. A l'inverse des occidentaux, les coréens préfèrent généralement regarder l'E-Sport seuls chez eux, au travail puis dans le train avant d'arriver à la maison. Le bar était donc assez peu rempli, et vide de séouliens. Africa Freecs a déjoué les pronostics en arrachant la première partie aux Kingzone Dragon, avant que ces derniers ne remportent haut la main les trois suivantes. En vrai, nous sommes partis à la fin du premier match.


    Sushi seoul
    Sushis à volonté

    Un restaurant (et une serveuse) à volonté de sushis sur des tapis roulants et un buffet à volonté nous ont tapé dans l'oeil. La volonté peut durer une heure mais quelques dizaines de minutes suffisent.


    15/04


    Football seoul   Football seoul
    Une dernière partie de foot avant le surprenant dégonflement forcé dans l'aéroport

    Réveil tardif pour check-out à 11h, mais nous pouvions laisser nos affaires car notre vol pour Fukuoka était à 18h. Atteindre l'avion ne s'est pas fait sans peur. Tout d'abord, le train jusqu'à l'aéroport nous a imposé un changement. Nous n'avions plus de tickets valides en raison d'une erreur de sortie à la Seoul Station. Heureusement, les responsables se sont montrés compréhensifs. Il a fallu marcher dix minutes jusqu'à l'enregistrement, suite à quoi un briquet malencontreusement oublié dans mon bagage en soute nous a encore ralentis. L'aéroport est si grand qu'un train relie les différentes portes d'embarquement. Enfin, la notre était la plus éloignée à bien, si bien que nous avons couru pour arriver quelques minutes avant l'embarquement.


    Seoul building
    Rue piétonne près de la Seoul Tower

    Seoul market
    Au milieu des buildings

    Un séjour bien plaisant, que nous n'avions une fois de plus pas du tout planifié. La chambre d'hôtes n'était pas au top, mais sa localisation impeccable. Nous avons adoré les habitants, qui étaient comme on nous les avait vendus : souriants, respectueux, attachants et BIEN plus ouvert et compétents en anglais que dans le reste de l'Asie. J'achète ! Le côté "occidental" se ressent bien à Séoul. Il peut parfois manquer d'authenticité, mais est plaisant lorsque l'on ne cherche pas le dépaysement. Les attractions étaient à la hauteur de nos attentes, en particulier les point de vue.

    J'aurait bien voulu voir un concert de K-Pop, rien que pour l'ambiance, et aller dans le quartier "branché" de Gangnam. 

    Direction le Japon !

  • 06/03 - 08-03 - Lijiang et le folklore de sa vieille ville, prenante et prisée

    Dragon Black Pool Lijiang
    Black Dragon Pool à Lijiang

    Yunnan. Le Far West chinois, frontalier du Vietnam et du Laos au sud, du Mynamar à l'ouest, sous les montagnes du Tibet au nord, je l'attendais avec impatience. Entre montagnes, fleuves, gorges, rizières et architecture traditionnelle, m'y voila enfin ! Dans cette immense région aux cultures et paysages infinies, tempérée toute l'année en raison de son altitude. Littéralement : au "Sud des Nuages", la province est globalement paysanne et assez pauvre, ce qui ne l'empêche pas d'être TRES touristique grâce à ses atouts cités plus tôt. Y voyager hors saison m'a sans doute permit de profiter davantage de ses villes et de ses merveilles naturelles, à commencer par Lijiang, tout à l'ouest du plateau du Yunnan : sa vieille ville et les Gorges du Saut du Tigre.


    LIJIANG, YUNNAN, CHINE
    06/03 - 08-03


    Elephant Hill Lijiang
    Lijiang depuis Elephant Hill

    A la gare de Lijiang, je ne savais plus où ni quand la journée avait commencée. Le coup de froid à la sortie du train m'a fait réaliser que la ville, à 2400m, est assez haute en altitude. Il était six heures et le premier bus passait dans une heure et demie, à quinze kilomètres de vieux quartier où était mon auberge. Comme d'habitude, je ne savais pas exactement où allait me déposer le bus. Lorsque j'arrive à plus de trois kilomètres de mon hôtel, je prend généralement un bus local allant dans la bonne direction, puis lorsque mon gps m'indique que je suis assez proche de mon hôtel (ou si je vois qu'il s'éloigne), je descends et fais le reste à pieds. Ensuite, ce que j'économise en transport, je le dépense largement en bouffe.

    Lijiang market
    Marché dans le sud de la vieille ville

    Mon auberge étant au nord, j'ai eu un aperçu de ce quartier si populaire et complètement vide de monde au lever du soleil. Sur des ruelles pavées, j'ai traversé un marché de viande où les commerçants découpaient des porcs entiers. Tandis que les réceptionnistes dormaient encore, certains cafés et restaurants ouvraient tout juste leurs grilles et commençaient à faire cuire des petites galettes (frangipane) et toutes sortes de pâtes sucrées pour le petit déjeuner, attirant de leur odeur les rares touristes matinaux. Je n'étais plus qu'à quelques minutes de mon auberge, mais une galette s'imposait.

    Lijiang Old Town
    Lijiang "à l'aube" pour ses habitants

    En hiver et au printemps, les commerces ouvrent vers 9-10h. Les habitants, qui se couchent tôt, semblent se caler sur le rythme du soleil. Je les soupçonne de faire des nuits très complètes. Lijiang est le foyer des naxis, un groupe ethnique issu du Dongba, une culture et une religion millénaire entre le bouddhisme et le taoïsme. Cette minorité ethnique est très particulière, notamment pour ses traditions anciennes, matriarcales et libertines. La ville est surnommée la "Venise orientale" pour ses 354 ponts qui traversent la vieille ville, d'ailleurs classée toute entière au patrimoine mondial de l'UNESCO.

    Lijiang Old Town
    Rue populaire de la vieille ville

    Oui, les visiteurs, très majoritairement chinois, ont envahi le quartier. J'étais prévenu, donc je profitais tant bien que mal de cette ouverture inespérée, malgré mon état de fatigue. En 1996, l'année précédant le classement à l'UNESCO, un tremblement de terre a détruit une partie de la ville. Tout a été rapidement restauré. Aujourd'hui, l'architecture traditionnelle est présente ici plus que jamais, unique et entourée de montagnes comme le Mont Enneigé du Dragon de Jade, atteignable en téléphérique à 5000m, bouteilles d'oxygène disponibles.

    Garden Inn Lijiang
    Garden Inn

    Je suis resté trois nuits dans cette petite auberge située dans une rue calme pas loin de la porte nord de la vieille ville. Il s'agit, sans conteste, de la meilleure auberge dans laquelle il m'ait été donné de dormir (égalité avec Adventure Hostel de Bangkok). Des rideaux sur les côtés d'un grand lit molletonné, sous lequel un casier assez grand pour faire rentrer mon sac, des toilettes et salle de bain propres avec eau chaude instantanée, une cour belle et relaxante et des réceptionnistes qui m'ont traité comme un roi. Il faut dire que j'étais le seul à occuper le dortoir pendant ces trois jours. Mieux qu'une chambre, j'avais un dortoir. Royal je vous dis.

    Lijiang Old Town
    Depuis l'auberge

    La première chose que j'ai faite en arrivant, qui aurait dû être faite depuis longtemps (dormir mais ça pouvait attendre encore un peu) : laver mon pantalon. Ca faisait un moment qu'il puait, mais depuis Caijiagou... Il sentait carrément le purin. Tant pis s'il délave, me disais-je, parce que là c'est une question de vie ou de mort de honte. Il était 10h et je pensais que j'allais dormir toute la journée.

    Lijiang Old Town
    Place des roues la nuit

    Mais non ! C'est donc en short que je sors dans la vieille ville une fois la nuit tombée. Un peu assommé, mais requinqué et particulièrement content de poser mes affaires pour plus d'une nuit. Il caillait assez, mais sans les montagnes bloquant le grand froid du nord, ça pourrait être pire. J'ai profité des merveilles de la vieille ville brillante de milles feux rouges et dorés, avec des commerces ouverts et des visiteurs réveillés. Entre les canaux, les nombreux commerces et stands de souvenir vendent plus ou moins la même chose, dans un style local : pierres, portes clefs, cartes, bijoux, sacs, portefeuilles... Authentique ou pas, l'effet est là. Les boutiques de vêtements traditionnels ont néanmoins l'air plus authentiques. L'ambiance est également au rendez-vous grâce aux bars et cafés avec leurs chanteurs.

    Lijiang Old Town
    Dongda Street

    Concernant la bouffe, entre fromage de de Yak, gâteaux de durian (pas après ma remise à propre) et les habituels street food de brochettes, bouchées vapeurs, nouilles, etc... le choix s'offrait. Les fast-food américains, qui se sont implantées dans des bâtisses traditionnelles naxies, se fondent parfaitement dans le décor. L'une des spécialités très demandée (et encore plus offerte) est le "flower pastry cake" (gâteau aux fleurs) et toutes ses déclinaisons possibles. C'est juste délicieux. On trouve énormément de boutiques qui ne vendent que de ça, en gros dans des packs, ou en frais à l'unité dans les vitrines : du moins chère et plus courant à la rose jusqu'au potiron, le plus cher et au design le plus travaillé. L'odeur si attirante est largement à la hauteur du goût. J'ai croisé la réceptionniste de mon auberge qui m'a conseillé sur les meilleurs choix possibles.

    Lijiang Old Town
    Vielle ville côté nord

    Ma première (et dernière) folie fut l'achat de 17€ de mangousteen... comme si elles s'étaient jetaient d'elles-même dans le sac plastique. Pour seulement deux ou trois kilos, la balance m'a balancé un 140 yuans agressif. Tout est allé si vite, j'ai à peine hésité, et je ne vous parle même pas de la vitesse à laquelle je les ai saignées.

    Dragon Black Pool Lijiang  Dragon Black Pool Lijiang  Dragon Black Pool Lijiang
    Dragon Black Pool

    Je m'étais organisé un tour des principaux "tourist spot", à des distances à pied raisonnables. Lijiang a - comme beaucoup de grandes villes asiatiques - une colline depuis laquelle on peut profiter d'un panorama de la ville. A l'ouest de la vieille ville, le Parc de l'Etang du Dragon Noir regroupe un lac, des jardins, des temples et le clou du spectacle : la fameuse colline et le chemin Elephant Hill avec sa vue sur la ville. Petit choc à l'entrée : 8O yuans le ticket. 

    Dragon Black Pool Lijiang
    Cette photo, c'est le Yunnan

    Nouveau choc quand en arrivant au départ du chemin de la colline : il faut être au moins quatre pour pouvoir passer. J'ai attendu en vain qu'un groupe se présente. A l'arrivée d'un couple chinois qui est passé sans embrouilles, j'ai compris que la restriction est limitée aux étrangers. Comme si l'entrée du site, gratuite pour eux, ne suffisait pas, ils peuvent également monter quel que soit leur nombre... C'était trop. Désespéré, je lançais un "pleeeeeaaaaase" à la gardienne, mais rien à faire. Elle n'a qu'un seul job, c'était évident qu'elle n'allait pas me laisser passer. Ce n'est pas ça qui va m'arrêter. J'ai mis dix euros principalement pour la colline, donc comment faire pour la voir ?

    Elephant Hill Lijiang  Elephant Hill Lijiang  Elephant Hill Lijiang
    Depuis la forêt, une partie moins ancienne de Lijiang

    Leur système est un véritable appel à la gruge. Il y a - je m'en suis rendu compte tout de suite après - une forêt entre le lac et la colline. Elle n'est ni bloquée, ni surveillée, ni vraiment difficile, si on suit les traces et qu'on a des bonnes chaussures, mais parfois quand même assez glissante ou pentue. Si le GPS m'indiquait la direction, les derniers cinquante mètres pour rejoindre le chemin étaient complètement improvisés. Je me suis organisé une petite esacalade forestière entre passage de troncs et de rochers ou esquivage de ronces.

    Elephant Hill Lijiang  Elephant Hill Lijiang  Elephant Hill Lijiang
    A mi chemin

    Le chemin et ses marches sont beaucoup plus simples. La vue est sympatoche tout le long jusqu'au sommet. Un point sur ma carte, qui indiquait une "tour facile à escalader", était en réalité une tour de télécommunication. Sûrement le coup d'un grimpeur de l'extrême.

    Elephant Hill Lijiang
    Fin d'Elephant Hill

    J'ai continué jusqu'au bout de la colline et sa vue sur les montagnes du nord, notamment l'imposante Yulong. En descendant, je me suis accordé une revanche personnelle en passant un petit coucou à la gardienne. Elle s'en est battue les baguettes.

    Naxis Lijiang
    Naxis

    Lijiang est très chère. Le parcours que je m'étais organisé a été anéanti par l'indécence du prix des sites. Je l'ai quand même fait, mais n'ai vu que les portes qui me faisaient fuir à l'annonce de leurs prix. C'est en fin d'après-midi que Lijiang est la plus animée. Sur une place majeure, des femmes naxis effectuaient ce qui était peut-être une danse traditionnelle. J'ai fait deux cafés puis je suis rentré, avant d'y revenir pour un resto naxi.

    Lijiang Old Town
    Lijiang Old Town

    Dans la categorie bouche a oreille, Workaway est un exemple, je suis bien placé pour en parler. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai fais l'éloge du site. Le jour de mon départ pour Dali, après le retour des Gorges du Saut du Tigre (prochain épisode) c'était le tour d'un californien qui traînait dans l'auberge depuis un moment. Celui-là était plus marquant que les autres car le concept sonnait comme une révélation pour cet homme d'une cinquantaine d'années qui voyageait avec son fils. Il était notamment "jaloux" de mon trip en Mongolie. C'est si simple et pourtant si méconnu. En plus, il n'y a pas d'âge pour être volontaire. Je le répète, j'attends toujours mon sponsoring Workaway !

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